Favoriser la prise de risque pour libérer le Management
Savoir Manager la performance
La prochaine fois qu’on vous dit « La confiance n’exclut pas le contrôle » …. répondez « Lénine » 😀
Ça va relativiser la maxime et faire dégonfler le bulbe du chefaillon
😏Cette citation utilisée comme une justification pour le flicage, l’assistanat forcé, les excès de zèles de managers matons , n’a aucun sens !
Un Manager doit avoir des responsabilités et prendre des risques
On contrôle lorsqu’on n’a pas confiance, lorsqu’on redoute un risque avéré d’échecs et des conséquences dramatiques … ou quand on veut briller
On ne peut faire confiance à quelqu’un et parallèlement lui imposer un contrôle, c’est un non sens
😎C’est pourtant exactement ce que font les process, si chers aux entreprises, où tout est normé avec un résultat attendu.
Le Process interdit l’initiative, demande à ne pas réfléchir, garantie l’absence d’erreurs et par conséquent de découverte.
Contrôler quelqu’un implique qu’il existe un doute, cela peut être avéré et riche de sens, cependant on ne peut absolument pas parler de confiance, et surtout en Techniques de Management.
Un Management sans risques est un Management sans résultats
Le Management est un risque, le Recrutement est un risque, Entreprendre est un risque, ne pas le comprendre est un échec.
Le résultat va simplement se révéler désastreux, les Managers à Haut Potentiel vont trouver refuge chez les concurrents, et les frileux que l’entreprise conservera, se calfeutrerons derrière les Process, en prenant aucune initiatives, et en appliquant les méthodes jusqu’à l’absurde.
Impossible de déléguer réellement une mission à un Manager, dans le bons sens du terme. C’est à dire ne pas lui refiler ce que l’on ne veut pas faire par exemple, mais surtout lui donner le « Lead », une réelle délégation de responsabilités. Lui permettre de prendre des risques et d’exprimer ses compétences et son talent.
😊Quand on sait que l’intelligence consiste à tirer partie de ses erreurs, on comprend que tout écosystème sous process grève les initiatives, n’évolue pas et donc régresse.
Les enjeux demandent du risque et aucune fulgurance ne se fait sous process