C’est parti pour la chasse aux postes de commercial ! Mais pour ne pas revenir bredouille et engranger les entretiens, rien ne vaut quelques méthodes simples à appliquer…et souvent très efficaces. Tout d’abord la préparation du CV, et si possible rajouter à la liste de ses incroyables compétences une lettre personnalisée en lieu et place du courrier type … qui finira à coup sûr à la poubelle.
Quant au contenu de cette lettre toute personnelle, il vaudra mieux être précis et montrer qu’on s’est renseigné sur celui à qui on s’adresse (non, pas le recruteur, l’entreprise…). Savoir faire preuve de souplesse géographique est aussi un atout, tout comme le fait de mettre en valeur ce qui nous distingue des autres candidats potentiels, la fameuse « valeur ajoutée » (sans trop exagérer bien sûr… ;) )
Si tout se passe bien par la suite, la seconde phase concernera un futur entretien, qui se prépare avec soin; allez hop, on potasse les grandes lignes de la fonction commerciale, on se fait beau, et on arrive pile à l’heure quitte à prendre de l’avance sur les embouteillages (ah Paris !). Au niveau de l’attitude générale, on reste cool, mais pas trop, détendu mais en éveil, souriant, mais pas rigolard, et on évite de trop flatter l’interlocuteur comme s’il s’agissait du fondateur d’Apple. Et après cette présentation générale (score première impression : + 999999), on déroule un argumentaire solide, car bon, inutile de se mentir, il y en a 40 qui attendent derrière, et encore on a pas ouvert les placards…Enfin, à la toute fin de l’entretien, il faut surtout éviter de partir à tout vitesse comme si l’on se rendait déjà…à un autre entretien (score seconde impression : – 999999).
Et ensuite ? Deux cas se présentent; le dérochage du job, ou le retour à la case départ; dans le premier cas, c’est champagne et confettis, dans le second, il sera souhaitable de contacter le recruteur pour savoir ce qui a manqué pour convaincre tout à fait.