30Nov

10 façons de se motiver quand on ne l’est pas vraiment

Avoir un projet sérieux et de solides motivations de départ ne suffit pas toujours pour « relancer la machine » au jour le jour; mais ce sont pourtant les efforts quotidiens vers l’objectif ultime qui garantissent presqu’à coup sûr qu’on le touche du doigt. Alors comment se motiver quand on ne l’est pas soi-même, et surtout pas 100% du temps ? Après tout, même Elon Musk doit parfois faire un « break » dans son jacuzzi…
1- Donner de la chair à ses projets… en se projetant encore au delà; par exemple, ce cher Elon Musk peut d’autant mieux rester focus sur ses projets de tunnel à grande vitesse ou de voiture électrique autonome qu’un projet encore plus grand lui permet de rêver les yeux ouverts : le voyage vers Mars. En somme, garder en soi un super-projet pour garder l’enthousiasme intact.
2- Se rapprocher de ses clients. Rien ne vaut un bon retour d’expérience pour faire le point sur ce qu’il reste à faire, à affiner. Cette attitude permet aussi de prendre du recul, et donc de pouvoir sortir des cadres parfois étouffants de l’habitude. 
3- Se fixer des missions personnelles, au delà du cadre professionnel; cela reste un bon moyen de garder son potentiel de motivation intact, comme un entrainement journalier. Les objectifs n’ont pas besoin d’être compliqués à atteindre, car l’essentiel n’est là…
4- Prendre du temps pour soi; la motivation, c’est aussi affaire de « respiration » et de maitrise du temps; difficile de rester motivé quand le temps manque où que l’on se sent juste débordé par la masse de choses à faire. Faire un break, garder le contact avec la vie familiale permet de se ressourcer, de regagne des forces essentielles; car la motivation est affaire d’énergie. 
5- Savoir savourer les succès; comment rester motivé si l’on n’a plus le goût des petites (ou grandes) victoires ? C’est pourtant la saveur de la réussite qui donne le piment nécessaire à la poursuite de ses objectifs. Et peu importe l’importance de ces victoires; champagne !
6- Aider d’autres entrepreneurs ou fondateurs d’entreprises. Aider les autres dans une situation  similaire à la notre est une bonne manière de se rendre bien compte de l’importance de ce qui est en jeu. Et la satisfaction d’avoir pu réellement aider ou conseiller est un carburant qui servira ensuite à ses propres projets.
7- Mettre en place des « routines »… puis en changer; se fixer comme challenge de parvenir à modifier ses habitudes, voilà qui maintient en éveil.
8- Se lancer dans des activités « inspirantes ». Toutes les activités qui permettent de se re-dynamiser, de garder de l’énergie, de la force créatrice en soi, sont vitales pour si l’on veut éviter la ratiocination ou le manque de souffle. Un esprit sain dans un corps sain…
9- Apporter une contribution positive à sa communauté. Aider les autres de façon désintéressée, donner des cours dans une université ou effectuer des dons à associations dont on partage certains objectifs apporte une forme de satisfaction morale, de paix intérieure qui peut grandement aider à garder intact son flux d’énergie propre.
10- Ne pas s’isoler; le poids de ses propres décision peut finir par alourdir l’esprit, puis le corps, au point là encore de manquer d’énergie et in fine de motivation; un ami, une épouse, un collègue de confiance suffisent parfois pour sortir de l’ornière. La création, la planification peut se faire dans la solitude du travail, mais pas au point de se couper du monde qui nous est le plus proche…

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    30Nov

    Pourquoi un CDI sur trois est rompu la première année ?

    La rupture de contrat n’est pas seulement la caractéristique des CDD et des postes en intérim; on le sait moins, et pourtant, les salariés en CDI ne  bénéficient pas d’un « bouclier magique » contre la rupture de contrat. Selon une étude menée en 2012 par la Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques (DARES), plus de un salarié en CDI sur trois, soit 36,1% des CDI signés en 2011 se sont vus signifier la fin de leur contrat avant même la première année écoulée dans l’entreprise !
     
    Pour parfaire ce tableau peu reluisant, il faut noter que la moitié des contrats en CDI sont rompus avant la fin de la seconde année et que près de 60% s’arrêtent au bout de 3 ans. Le CDI n’est donc pas un gage de stabilité, loin s’en faut (et il s’agit ici de chiffres datant de 2012, on peut douteur que la situation se soit améliorée depuis). 
    Les causes de ces ruptures en cascade sont bien entendu multiples; certains secteurs d’activité sont déjà plus touchés que d’autres, comme le tertiaire (4 CDI rompus sur 10) ou le BTP (3 contrats sur 10) tandis que l’industrie résiste (un peu) mieux. Lors de la première année d’embauche en CDI, ce sont les démissions qui constituent la cause principale de rupture de contrat (16,1%), suivi de l’absence de renouvellement à 12,7%, puis des licenciements (3,3%, avec 0,4% de licenciement économique). 
    Quant aux ruptures à l’amiable, que l’on met souvent en avant, elles ne représentent pourtant que 1,7% de l’ensemble des ruptures de contrat en CDI. Et comme partout ailleurs, il vaut mieux disposer de solides qualifications : 51,9% des salariés non qualifiés quittent leur CDI au bout de quelques mois seulement

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