28Sep

Entrepreneurs : les questions que l’on doit se poser avant de créer une entreprise

Cette fois, ça y est, la décision est prise ! C’est le bon moment pour réaliser son rêve de toujours : créer son entreprise. Et forcément, on se pose un milliard de questions sur le comment du pourquoi, au point de ne pas savoir par où commencer.

L’objectif d’une entreprise étant de dégager du chiffre d’affaires, autant dire qu’il ne faudra pas se tromper dans la liste des questions à laquelle on se devra de répondre au plus vite. Les bonnes questions emmènent les bonnes réponses et les bonnes réponses emmènent du cash-flow !

C’est donc le moment de se poser les bonnes questions, primordial avant de se mettre à son compte

  • Quelle est la taille du marché visé par la nouvelle entreprise ? Forcément, vouloir lancer un service ou vendre un produit qui au mieux ne touchera que 0,1 % de la population est un pari perdu d’avance.
  • Quels sont les prix pratiqués sur ce marché ? Histoire de ne pas fixer une tarification totalement hors des clous.
  • Quelle est la composition démographique du marché visé ? « Ne pas vendre des peignes à des chauves » dit l’adage …
  • Quels sont les besoins de ce marché ? Forcément, les concurrents n’ont pas couvert tous les besoins; il doit bien rester un moyen de se différencier tout en restant utile
  • Quelles sont les communautés de ce marché ? Surfer sur les bonnes tendances pour mieux communiquer
  • Quels sont les concurrents ? Au moins, on est au courant qu’ils existent, et il devient possible d’analyser leurs possibles faiblesses … ainsi que leurs forces.

Énoncées à la suite, ces questions semblent à priori de bon sens; et pourtant, bien peu d’apprentis Startuppers pensent vraiment à se les poser avant de se lancer.

Nous on a un stock de réponses et de solutions pour créateurs d’entreprise !!

 

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    27Sep

    Chefs d’entreprises : les erreurs à ne pas commettre

    Une étude du Harvard Business Review vient de jeter un (gros) pavé dans la mare; dans les 18 mois qui suivent leur prise de fonction, la moitié des dirigeants des grosses et moyennes entreprises se font évincer pour des erreurs de décision ou d’évaluation du marché souvent récurrentes. Ce turnover coûte aussi très cher puisque, sur les 2500 entreprises passées au crible par PwC entre 2000 et 2014, les actionnaires de ces mêmes sociétés ont perdu en moyenne 1,8 milliards de dollars directement imputable à la valse des dirigeants.

    Lorsque les CEO déçoivent, c’est aussi souvent pour les mêmes raisons :

    Le nouveau dirigeant veut inscrire trop vite sa marque sur l’entreprise, afin de « justifier » son poste tout frais (et ses émoluments); le problème, c’est qu’une prise de décision trop rapide peut avoir des effets dévastateurs sur la stratégie globale de l’entreprise, sans compter que des changements brutaux peuvent « braquer » le reste de l’équipe dirigeante. Solliciter un retour d’information avant d’agir, ou bien encore faire un audit permet e prendre ses marques en douceur et de prendre du recul sur une situation souvent déjà compliquée (sinon on ne ferait pas venir un nouveau dirigeant).

    – L’autre profil du dirigeant en échec concerne celui qui ne sait pas transmettre la vision et la mission de la société. Si l’on ne sait pas communiquer et expliquer, il sera beaucoup plus difficile de convaincre les cadres et aussi les employés du bien fondé des changements à venir. Et le dirigeant se retrouvera sur la sellette au moindre faux pas.

    Le dirigeant tyrannique, qui pense qu’il obtiendra tout par la peur, est aussi sur un siège éjectable à très court terme, car il n’est pas possible d’obtenir une vraie confiance et un vrai engagement de la part de ses collaborateurs directs si ces derniers estiment qu’ils peuvent perdre leur poste au moindre mouchoir qui tombe. Difficile aussi d’embaucher des pointures lorsqu’on promet l’enfer aux nouveaux arrivants. Les CEO autoritaires et « justes » sont légions (Steve Jobs et même Bill Gates n’étaient pas des tendres), mais les tyranniques assoiffés de pouvoir ont déjà été oubliés.

    Le capitaine d’un voilier n’est efficace que si les hommes à bord le sont aussi; il en va de même pour un chef d’entreprise qui n’aura pas su s’entourer des meilleurs à cause d’une méthodologie de recrutement déficiente (le flair ?); et il ne sert à rien d’être un bon visionnaire sur son marché ou un bon stratège si on doit se retrouver tout seul à la barre parce que les collaborateurs ne comprennent rien à ce qui se passe.

    La liste des « epic fails » de nos chers CEO n’est bien sûr pas clause avec cette liste des « 4 erreurs à ne pas commettre »; après tout, un chef d’entreprise est aussi un homme comme les autres…

     

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      26Sep

      Recrutement commercial : comment décrocher le poste ?

      C’est parti pour la chasse aux postes de commercial ! Mais pour ne pas revenir bredouille et engranger les entretiens, rien ne vaut quelques méthodes simples à appliquer…et souvent très efficaces. Tout d’abord la préparation du CV, et si possible rajouter à la liste de ses incroyables compétences une lettre personnalisée en lieu et place du courrier type … qui finira à coup sûr à la poubelle.

      Quant au contenu de cette lettre toute personnelle, il vaudra mieux être précis et montrer qu’on s’est renseigné sur celui à qui on s’adresse (non, pas le recruteur, l’entreprise…). Savoir faire preuve de souplesse géographique est aussi un atout, tout comme le fait de mettre en valeur ce qui nous distingue des autres candidats potentiels, la fameuse « valeur ajoutée » (sans trop exagérer bien sûr… ;) )

      Si tout se passe bien par la suite, la seconde phase concernera un futur entretien, qui se prépare avec soin; allez hop, on potasse les grandes lignes de la fonction commerciale, on se fait beau, et on arrive pile à l’heure quitte à prendre de l’avance sur les embouteillages (ah Paris !).  Au niveau de l’attitude générale, on reste cool, mais pas trop, détendu mais en éveil, souriant, mais pas rigolard, et on évite de trop flatter l’interlocuteur comme s’il s’agissait du fondateur d’Apple. Et  après cette présentation générale (score première impression : + 999999), on déroule un argumentaire solide, car bon, inutile de se mentir, il y en a 40 qui attendent derrière, et encore on a pas ouvert les placards…Enfin, à la toute fin de l’entretien, il faut surtout éviter de partir à tout vitesse comme si l’on se rendait déjà…à un autre entretien (score seconde impression : – 999999).

      Et ensuite ? Deux cas se présentent; le dérochage du job, ou le retour à la case départ; dans le premier cas, c’est champagne et confettis, dans le second, il sera souhaitable de contacter le recruteur pour savoir ce qui a manqué pour convaincre tout à fait.

       

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