octobre, 2017 | Teemster

13Oct

Tripler l’efficacité des formations commerciales : l’ère 2.0

Comment profiter de l’ère 2.0 pour former les meilleurs commerciaux ?

Entreprise, étudiant ou candidat, tu peux maintenant te former sur ce que tu veux avec la solution de formation 2.0

Tripler l’efficacité des formations commerciales : l’ère 2.0

Comment devenir le meilleur commercial

Des lacunes en vente ? Tu ne comprends rien aux nouvelles technologies et à l’informatique ?
L’ère 2.0 t’apporte la solution sur un plateau !

Des plateformes en ligne ouvertes à tous, appelées par les anglais MOOC (Massive Open Online Course) te proposent des formations à distance.

Certains cours spécialisés te permettent de valider tes compétences acquises, ils sont ouvert à tous sur une multitude de contenus.

Certaines formations sont gratuites, d’autres sont payantes mais aboutissent à un certificat.

Tripler l’efficacité des formations commerciales : l’ère 2.0

Optimiser ses chances d’être le commercial recruté

Certains de ces contenus te permettent de te développer personnellement.
Tu veux savoir quel comportement un bon commercial BtoB doit adopter ? Tu peux !

Tu es un futur commercial et tu cherches à te lancer dans la vie professionnelle ? Aucune crainte, des formations sur la création de CV à la formation à l’entretien d’embauche, tu es accompagné !
Tu n’as plus d’excuses, toutes les connaissances sont à la portée de tes mains, il te suffit d’être motivé et autonome !

Tu peux nous contacter, on est déjà 2.0 !

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11Oct

Les règles à suivre pour lancer une franchise rentable

Ouvrir une franchise n’est pas le plus difficile lorsqu’on est déterminé à se lancer, mais ouvrir une franchise qui marche, c’est déjà nettement moins évident. Quelques règles simples permettent cependant de ne pas aller dans le mur dès le premier virage :

Sonder ses motivations : il est important de faire un bilan personnel avant de se jeter dans le grand bain (devenir franchisé n’est pas anodin). Est-ce que l’on dispose vraiment des compétences pour réussir en tant que franchisé ? A t-on suffisamment la fibre commerciale ou la capacité à s’occuper de comptes de gestion au quotidien ? A t-on les reins financiers assez solides ? La Chambre de Commerce et d’Industrie, l’APCE, pourra vous aider dans cette première étape décisive, la plus décisive de toute peut-être…

Savoir où l’on veut aller : ce qui signifie choisir en toute connaissance de cause un secteur d’activité et un réseau franchisé, sans oublier de faire une étude de marché (à grande échelle ou en local, c’est à dire en fonction de la concurrence déjà existante à tel ou tel endroit) qui par exemple pourra nous indiquer que tel ou tel secteur n’est pas vraiment porteur ou comporte plus de risques en tant que franchise.

Choisir son franchiseur : toutes les franchises d’un même secteur d’activité ou de service ne se valent pas évidemment : la rentabilité repose déjà sur un budget prévisionnel bien établi (fond de roulement, investissements) et sur une bonne connaissance de l’enseigne où l’on met les pieds. Une coup d’œil pointu sur les comptes de la franchise n’est pas optionnel; c’est une étape obligatoire si l’on ne veut pas de mauvaises surprises passé le premier mois d’activité…C’est aussi la « solidité » du volet financier qui déterminera sa capacité à lever de nouveaux financements auprès des banques.

Bien fignoler les deniers détails : location du local, statut juridique de la société ((SARL, SA, SAS/SASU, SNC); un expert juridique sera souvent demandé à la barre…et à ses cotés pour cette partie aussi administrative que nécessaire.

Signature du contrat de franchise : ne pas oublier que le contrat de franchise obéit essentiellement au droit commun des contrats commerciaux; et il vaut mieux bien lire TOUS les termes du contrat avant de le signer; on est jamais trop prudent…

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09Oct

Le travail à distance … pour éviter les « clichés » ?

Les conseils en bonne gestion d’entreprises et de ressources humaines peuvent devenir les pires clichés, au point d’affecter la culture d’entreprise elle-même; ainsi, selon une étude récente, 47% ds salariés d’entreprises ne supportent plus l’expression « penser en dehors des cadres » (« think outside the box ») qui devient trop usitée au point devenir un nouvelle forme de conformisme peu productive. 8% des personnes interrogées ne supportent plus le mot « synergie » et 18% attrapent des boutons quand on leur parle de « bande passante ».

Par chance, les employés qui ne supportent plus d’entendre les mêmes mantras répétés à longueur de journée s’éviteront sans doute de s’écorcher les oreilles dans un avenir proche; car le travail à distance est en train de se banaliser dans nombre d’entreprises (certes pas encore en France). Dans un pays comme le Canada, la plupart des employés travaillent à distance au moins un jour dans la semaine; une majorité d’entre eux considèrent même que plus de la moitié du travail productif finira par être effectué à distance.

Le « remote work » n’est pas la seule voie pour améliorer drastiquement la productivité au delà des « mantras » de façade; une autre étude récente menée auprès de 2000 salariés américains dévoile que de nombreux employés sont tout à fait conscients des « tueurs de productivité » au sein de leur entreprise, comme par exemple les mails trop nombreux, trop longs à lire et aussi à écrire, alors que bien souvent les dossiers avanceraient encore plus vite avec une simple réunion d’étape de projet ou une visio-conférence, mille fois plus efficace que les allers retours incessants de mails. Faut-il encore que ces réunions soient bien préparées : 57% des salariés estiment que ces dernières ne sont qu’une perte de temps.

Et étrangement, l’IA ou la technologie n’effraie pas les employés 2.0; 69% estiment même que l’automatisation de certaines taches leur permettra de libérer du temps afin d’être plus efficace dans leur travail (augmenter le chiffre d’affaires, trouver des nouveaux clients, développer les marges). 86% se déclarent même impatients d’assister à ces bouleversements technologiques dans leur propre cadre de travail.

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