24Oct

Recrutement commercial : les offres d’emploi reprennent…

Enfin pourrait-on dire, les recrutements reprennent du poil de la bête depuis la rentrée de septembre et même un peu avant. Cette embellie se confirme dans les grands centres urbains au petit village ou à la ville de taille moyenne. A Saint-Brieuc, l’agence Pole-emploi affichait déjà un taux de chômage de 8,4% au premier trimestre 2017, en baisse de 0,4% par rapport au trimestre précédent. Et sans surprise, c’est le secteur commercial qui relève la tête, ainsi que le confirme Cédric Ogier, le directeur de l’Agence pour l’emploi de Saint-Brieuc. Le commerce, toujours et encore (il y a sans arrêt de nouveaux produits ou de nouveaux services à vendre, ceci expliquant sans doute cela…).
Autre constat, les postes en intérim sont nettement plus demandés, avec +16% de postes supplémentaires; mais attention, car les propositions de postes dits « durables «  (au moins 6 mois) ont littéralement explosé sur la période, exactement de +63% sur les 12 derniers mois. L’emploi temporaire (1 à 6 mois) reste cependant la durée privilégiée, en croissance de 94% sur 12 mois. Pour le travail occasionnel (moins d’un mois), la croissance n’est que de 6,3%, ce qui n’est pas forcément un mal étant donné l’ultra-précarité de ce type de poste. 
En bref, et quel que soit le type de poste proposé, l’emploi redémarre cette fois nettement, toujours largement poussé en avant par le secteur commercial; de quoi retrouver de la confiance à la sortie d’une école de commerce, voire lors de la recherche d’un nouveau poste après un changement de projet de carrière. Paradoxe de cette situation de reprise, quantité de postes restent encore non pourvus, notamment un grand nombre de postes non-qualifiés, un casse-tête que les employeurs ont bien du mal à résoudre.

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    22Oct

    Comment créer son entreprise : les 5 questions à se poser ..et les premiers éléments de réponse

    La décision de créer son entreprise n’est que l’étape zéro d’un parcours où la volonté le dispute à la persévérance et à l’esprit d’initiative. Et cela ne suffira pourtant pas; car il faudra aussi en passer par des étapes clefs et incontournables :

    Première étape : comment choisir le statut juridique de son entreprise ?
    Avant même d’aller demander des financements aux banques et organismes de crédit, il est obligatoire d’établir le statut juridique ainsi que le régime fiscal de son entreprise. Le site de l’AFE compare les différents statuts et permet de sélectionner celui qui correspondra le mieux à son projet d’entreprise.

    Seconde étape : est-ce que je peux bénéficier d’aides de l’Etat ?
    Toujours en fonction de son projet d’entreprise, des aides ou allègements fiscaux peuvent s’appliquer. le site aides-entreprises.fr répertorie toutes les aides publiques destinées aux sociétés. La banque publique d’investissement ou le dispositif Nacre (pour les entrepreneurs qui partent d’une situation sans-emploi) peuvent aussi débloquer les premiers fonds essentiels à un démarrage.

    Troisième étape : et les financements ?
    Cette fois, il faudra prendre conseil auprès des banques; la plupart accepteront d’aiguiller l’entrepreneur en herbe et même de lui apporter – peut-être – des débuts de solution, en fonction de la « solidité » de son projet. L’AFE (Agence France Entrepreneur) est de bon conseil lorsqu’il s’agit de trouver des financements.

    Quatrième étape : comment se faire conseiller ?
    Personne n’a la science infuse et le meilleur entrepreneur débutant aura l’humilité d’écouter les conseils de professionnels. Les chambres de commerce et d’Industrie, des métiers et de l’artisanat peuvent fournir une partie de leur immense expertise. Pour les startuppeurs qui se lancent dans le secteur high-tech, les incubateurs technologiques sont des passages incontournables. Sinon, il y a l’AFE une fois de plus…

    Cinquième étape : comment créer son entreprise sur le papier ?
    Pour les formalités administratives, un seul site devrait suffire : Guichet-Entreprise.fr . En moins d’une heure, l’essentiel devrait être fait, et bien fait.

     

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      20Oct

      Créer son entreprise … à partir de zéro !

      Décider de se lancer dans la création de sa propre entreprise est une chose, en avoir les moyens en est une autre. Encore faut-il savoir de quels moyens on parle; car même sans un sous en poche, il reste tout à fait possible de se lancer, en respectant toutefois quelques principes de base.

      • Compenser l’absence de réseaux… par l’audace. Sans aucun carnet d’adresses, il peut être difficile de démarrer une activité; mais un carnet bien rempli, cela se crée; un certain Steve Jobs a bien démarché les premiers clients d’Apple au téléphone …et dans la cuisine de ses parents !
      • Un état d’esprit de vainqueur; Yes I Can !; cela peut sembler presque trop simple, mais l’on commence déjà à prendre réellement confiance en soi et dans son projet…en prenant confiance en soi et dans son projet. Croire en soi est la meilleure façon d’agir pour que les autres y croient aussi.
      • Saisir les opportunités; les plats ne sont pas toujours servis deux fois, et cela vaut aussi pour la création d’une entreprise. Un projet commun avec un groupe d’amis ou de collaborateurs, rejoindre un réseau de franchise proposée à un tarif canon et sur un marché porteur, une ligne de crédit qu’on attendait plus et qui se libère enfin ? Il ne faut pas louper les signes du « bon moment » pour se lancer.
      • Ne pas se soucier de la crise; les vrais entrepreneurs sont dans une logique de création d’entreprise…qui ne connait pas la crise ! Une bonne idée n’est pas moins bonne dans un contexte économique plus difficile, et à attendre l’éclaircie ou la croissance à 4%, on finit par oublier que c’est dans la tempête que l’on reconnait les bons capitaines. 
      • Avoir du flair; ou au moins le travailler. Notre monde évolue vite sous les assauts d’une technologie en roue libre, et celui qui détecte les tendances ou les services/produits qui feront le prochain buzz (voire initieront la prochaine grande disruption sociétale) a forcément un bon coup d’avance. S’informer constamment sur les nouveautés « commerciales » du moment reste le meilleur moyen d’aiguiser ce flair…
      • La bonne idée; cela aussi peut paraitre décidément trop « bateau », mais l’idée originale et à la fois pertinente, d’emblée en phase avec son époque (et les clients de cette époque), voilà qui assure souvent tout le reste : la confiance absolue dans son projet, plus de facilités pour financer une Franchise ou une entreprise, des collaborateurs à l’écoute, et peut-être même une position de précurseur sur un nouveau marché. Le bon « vendeur » d’une très mauvaise idée ira à terme moins loin que le vendeur hésitant d’une idée géniale. 

       

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